ALGERIE Ref#[238789] MOSTAGANEM quartier de MATAMORE
Lettre du 5 mars 1836 acheminée à ORAN à destination de NARBONNE.
Suite à la prise d"Alger en juillet 1830, la garnison turque de Mostaganem s"était ralliée à nos armes et se trouvait isolée, comme celle de Tlemcen, depuis l"occupation de la régence d"Alger par les troupes françaises. Le général Desmichels dirigea une expédition sur Mostaganem le 23 juillet,1833 et occupa à la ville sans résistance. Les tribus environnantes qui n"avaient pas cessé de harceler les Turcs qui avaient gouverné pour la France depuis juillet 1830, se levèrent en masse pour attaquer la ville. Abd el kader appuya à ce mouvement avec de grands renforts. La garnison française fut assiégée de longs mois.
" Matamore le 15 mars 1836
Je suis à Matamore et petite ville turque dominant une autre ville mauresque nommée
Mostaganem, trou infâme que l"on décrit je ne sais pourquoi du nom de ville. Nous sommes sur le bord de la mer et la cote est tellement inhospitalière, le vent du golf d"Arzew est tellement craint des marins, que jamais nous ne voyons de navire dans notre horizon. Quelques mauvaises barques vont et viennent d"Oran lorsque la mer est calme, en risquant chaque fois de sombrer.
Souvent, nous manquons de vin que l"on remplace par une eau de vie importable. Nous n"avons en fait de femmes que des bédouines fort sales qui ont le toupet de s"envelopper tout entière dans un bournous de sorte que l"on ne laisse voir que la cheville, ce qui pourrait ëtre fort beau et très excitant en France et très réfrigérant en Afrique, en un mot, nous nous voyons en fait d"hommes que nos soldats et quelques bédouins, en fait de femme que nos cantinières.
Nous faisons très souvent des sorties soit pour nous procurer du bois, soit pour surprendre les tribus ennemies. Nous allons coucher à 7 ou 8 lieux de nos masures car Matamore est une ville en ruine et nous revenons le lendemain. Je voudrais bien que tout le régiment fut réunis à Oran, Canrobert qui y est avec le premier bataillon m"écrit que ce mouvement doit s"opérer ... "
ALGERIE Ref#[238789] MOSTAGANEM quartier de MATAMORE
Lettre du 5 mars 1836 acheminée à ORAN à destination de NARBONNE.
Suite à la prise d"Alger en juillet 1830, la garnison turque de Mostaganem s"était ralliée à nos armes et se trouvait isolée, comme celle de Tlemcen, depuis l"occupation de la régence d"Alger par les troupes françaises. Le général Desmichels dirigea une expédition sur Mostaganem le 23 juillet,1833 et occupa à la ville sans résistance. Les tribus environnantes qui n"avaient pas cessé de harceler les Turcs qui avaient gouverné pour la France depuis juillet 1830, se levèrent en masse pour attaquer la ville. Abd el kader appuya à ce mouvement avec de grands renforts. La garnison française fut assiégée de longs mois.
" Matamore le 15 mars 1836
Je suis à Matamore et petite ville turque dominant une autre ville mauresque nommée
Mostaganem, trou infâme que l"on décrit je ne sais pourquoi du nom de ville. Nous sommes sur le bord de la mer et la cote est tellement inhospitalière, le vent du golf d"Arzew est tellement craint des marins, que jamais nous ne voyons de navire dans notre horizon. Quelques mauvaises barques vont et viennent d"Oran lorsque la mer est calme, en risquant chaque fois de sombrer.
Souvent, nous manquons de vin que l"on remplace par une eau de vie importable. Nous n"avons en fait de femmes que des bédouines fort sales qui ont le toupet de s"envelopper tout entière dans un bournous de sorte que l"on ne laisse voir que la cheville, ce qui pourrait ëtre fort beau et très excitant en France et très réfrigérant en Afrique, en un mot, nous nous voyons en fait d"hommes que nos soldats et quelques bédouins, en fait de femme que nos cantinières.
Nous faisons très souvent des sorties soit pour nous procurer du bois, soit pour surprendre les tribus ennemies. Nous allons coucher à 7 ou 8 lieux de nos masures car Matamore est une ville en ruine et nous revenons le lendemain. Je voudrais bien que tout le régiment fut réunis à Oran, Canrobert qui y est avec le premier bataillon m"écrit que ce mouvement doit s"opérer ... "
ALGERIE Ref#[239460] devant de lettre chargée de SIDI BEL ABBES du 15 aout 1872 pour MAMERS. affranchissement 80c BORDEAUX et 20c SIEGE (déchiré), GC 5063. B/TB
ALGERIE Ref#[239460] devant de lettre chargée de SIDI BEL ABBES du 15 aout 1872 pour MAMERS. affranchissement 80c BORDEAUX et 20c SIEGE (déchiré), GC 5063. B/TB
ALGERIE Ref#[239460] devant de lettre chargée de SIDI BEL ABBES du 15 aout 1872 pour MAMERS. affranchissement 80c BORDEAUX et 20c SIEGE (déchiré), GC 5063. B/TB
ALGERIE Ref#[239460] devant de lettre chargée de SIDI BEL ABBES du 15 aout 1872 pour MAMERS. affranchissement 80c BORDEAUX et 20c SIEGE (déchiré), GC 5063. B/TB
ALGERIE Ref#[239460] devant de lettre chargée de SIDI BEL ABBES du 15 aout 1872 pour MAMERS. affranchissement 80c BORDEAUX et 20c SIEGE (déchiré), GC 5063. B/TB
ALGERIE Ref#[239460] devant de lettre chargée de SIDI BEL ABBES du 15 aout 1872 pour MAMERS. affranchissement 80c BORDEAUX et 20c SIEGE (déchiré), GC 5063. B/TB
ALGERIE Ref#[238782] INSURRECTION D"ABD EL KADER
Désastre de la MACTA le 26 juillet 1835
Lors du combat de la Macta le 26 juillet 1835 ou Abd el Kader infligea au général Trézel un désastre militaire, le gouverneur général de l"Algérie, le comte Drouet d"Erlon fut remplacé par le maréchal Clauzel qui revenait ainsi une deuxième fois en Algérie comme gouverneur général. Le comte d"Erlon ne fut pas regretté par les cadres de l"armée d"Afrique à cause de son inertie et des compromissions de son entourage concernant une livraison d"armes destinée aux contingents d"Abd el Kader.
Lettre d"Alger du 8 aout 1835 au colonel DUVIVIER à Paris.
d"Alger le 8 aout 1835
Mon colonel.
... Le général Drouet d"Erlon part ce soir et laisse le gouvernement entre les mains du général Rapatel. Il est bien temps que le maréchal arrive, car les affaires se brouillent de plus en plus. Depuis 16 jours, rien n"arrive à Alger. Abdel el Kader à ordonner d"interrompre les chemins de l"Ouest. Le Bey de Milianah, Sidi el Lkaya Embarack, notre ami agha est enchanté de nous faire la guerre et le plus de mal possible. Sans le choléra qui est à Milianah, il y aurait déjà eu plusieurs affaires, on voulait proclamer la guerre sainte... Un escadron de chasseur est stationné à Douéra. Au moment où les chasseurs mettaient pieds à terre pour faire boire, sans arme, pas mëme un brigadier armé, 60 à 80 Hadjoutes sont tombés sur les chasseurs et ont fait une déconfitures de l"escadron. On a trouvé 5 hommes tués, une vingtaine sont blessés, 11 manquent à l"appel et une vingtaine de chevaux manquent aussi...
ALGERIE Ref#[238782] INSURRECTION D"ABD EL KADER
Désastre de la MACTA le 26 juillet 1835
Lors du combat de la Macta le 26 juillet 1835 ou Abd el Kader infligea au général Trézel un désastre militaire, le gouverneur général de l"Algérie, le comte Drouet d"Erlon fut remplacé par le maréchal Clauzel qui revenait ainsi une deuxième fois en Algérie comme gouverneur général. Le comte d"Erlon ne fut pas regretté par les cadres de l"armée d"Afrique à cause de son inertie et des compromissions de son entourage concernant une livraison d"armes destinée aux contingents d"Abd el Kader.
Lettre d"Alger du 8 aout 1835 au colonel DUVIVIER à Paris.
d"Alger le 8 aout 1835
Mon colonel.
... Le général Drouet d"Erlon part ce soir et laisse le gouvernement entre les mains du général Rapatel. Il est bien temps que le maréchal arrive, car les affaires se brouillent de plus en plus. Depuis 16 jours, rien n"arrive à Alger. Abdel el Kader à ordonner d"interrompre les chemins de l"Ouest. Le Bey de Milianah, Sidi el Lkaya Embarack, notre ami agha est enchanté de nous faire la guerre et le plus de mal possible. Sans le choléra qui est à Milianah, il y aurait déjà eu plusieurs affaires, on voulait proclamer la guerre sainte... Un escadron de chasseur est stationné à Douéra. Au moment où les chasseurs mettaient pieds à terre pour faire boire, sans arme, pas mëme un brigadier armé, 60 à 80 Hadjoutes sont tombés sur les chasseurs et ont fait une déconfitures de l"escadron. On a trouvé 5 hommes tués, une vingtaine sont blessés, 11 manquent à l"appel et une vingtaine de chevaux manquent aussi...
ALGERIE Ref#[238782] INSURRECTION D"ABD EL KADER
Désastre de la MACTA le 26 juillet 1835
Lors du combat de la Macta le 26 juillet 1835 ou Abd el Kader infligea au général Trézel un désastre militaire, le gouverneur général de l"Algérie, le comte Drouet d"Erlon fut remplacé par le maréchal Clauzel qui revenait ainsi une deuxième fois en Algérie comme gouverneur général. Le comte d"Erlon ne fut pas regretté par les cadres de l"armée d"Afrique à cause de son inertie et des compromissions de son entourage concernant une livraison d"armes destinée aux contingents d"Abd el Kader.
Lettre d"Alger du 8 aout 1835 au colonel DUVIVIER à Paris.
d"Alger le 8 aout 1835
Mon colonel.
... Le général Drouet d"Erlon part ce soir et laisse le gouvernement entre les mains du général Rapatel. Il est bien temps que le maréchal arrive, car les affaires se brouillent de plus en plus. Depuis 16 jours, rien n"arrive à Alger. Abdel el Kader à ordonner d"interrompre les chemins de l"Ouest. Le Bey de Milianah, Sidi el Lkaya Embarack, notre ami agha est enchanté de nous faire la guerre et le plus de mal possible. Sans le choléra qui est à Milianah, il y aurait déjà eu plusieurs affaires, on voulait proclamer la guerre sainte... Un escadron de chasseur est stationné à Douéra. Au moment où les chasseurs mettaient pieds à terre pour faire boire, sans arme, pas mëme un brigadier armé, 60 à 80 Hadjoutes sont tombés sur les chasseurs et ont fait une déconfitures de l"escadron. On a trouvé 5 hommes tués, une vingtaine sont blessés, 11 manquent à l"appel et une vingtaine de chevaux manquent aussi...
ALGERIE Ref#[238782] INSURRECTION D"ABD EL KADER
Désastre de la MACTA le 26 juillet 1835
Lors du combat de la Macta le 26 juillet 1835 ou Abd el Kader infligea au général Trézel un désastre militaire, le gouverneur général de l"Algérie, le comte Drouet d"Erlon fut remplacé par le maréchal Clauzel qui revenait ainsi une deuxième fois en Algérie comme gouverneur général. Le comte d"Erlon ne fut pas regretté par les cadres de l"armée d"Afrique à cause de son inertie et des compromissions de son entourage concernant une livraison d"armes destinée aux contingents d"Abd el Kader.
Lettre d"Alger du 8 aout 1835 au colonel DUVIVIER à Paris.
d"Alger le 8 aout 1835
Mon colonel.
... Le général Drouet d"Erlon part ce soir et laisse le gouvernement entre les mains du général Rapatel. Il est bien temps que le maréchal arrive, car les affaires se brouillent de plus en plus. Depuis 16 jours, rien n"arrive à Alger. Abdel el Kader à ordonner d"interrompre les chemins de l"Ouest. Le Bey de Milianah, Sidi el Lkaya Embarack, notre ami agha est enchanté de nous faire la guerre et le plus de mal possible. Sans le choléra qui est à Milianah, il y aurait déjà eu plusieurs affaires, on voulait proclamer la guerre sainte... Un escadron de chasseur est stationné à Douéra. Au moment où les chasseurs mettaient pieds à terre pour faire boire, sans arme, pas mëme un brigadier armé, 60 à 80 Hadjoutes sont tombés sur les chasseurs et ont fait une déconfitures de l"escadron. On a trouvé 5 hommes tués, une vingtaine sont blessés, 11 manquent à l"appel et une vingtaine de chevaux manquent aussi...
ALGERIE Ref#[238782] INSURRECTION D"ABD EL KADER
Désastre de la MACTA le 26 juillet 1835
Lors du combat de la Macta le 26 juillet 1835 ou Abd el Kader infligea au général Trézel un désastre militaire, le gouverneur général de l"Algérie, le comte Drouet d"Erlon fut remplacé par le maréchal Clauzel qui revenait ainsi une deuxième fois en Algérie comme gouverneur général. Le comte d"Erlon ne fut pas regretté par les cadres de l"armée d"Afrique à cause de son inertie et des compromissions de son entourage concernant une livraison d"armes destinée aux contingents d"Abd el Kader.
Lettre d"Alger du 8 aout 1835 au colonel DUVIVIER à Paris.
d"Alger le 8 aout 1835
Mon colonel.
... Le général Drouet d"Erlon part ce soir et laisse le gouvernement entre les mains du général Rapatel. Il est bien temps que le maréchal arrive, car les affaires se brouillent de plus en plus. Depuis 16 jours, rien n"arrive à Alger. Abdel el Kader à ordonner d"interrompre les chemins de l"Ouest. Le Bey de Milianah, Sidi el Lkaya Embarack, notre ami agha est enchanté de nous faire la guerre et le plus de mal possible. Sans le choléra qui est à Milianah, il y aurait déjà eu plusieurs affaires, on voulait proclamer la guerre sainte... Un escadron de chasseur est stationné à Douéra. Au moment où les chasseurs mettaient pieds à terre pour faire boire, sans arme, pas mëme un brigadier armé, 60 à 80 Hadjoutes sont tombés sur les chasseurs et ont fait une déconfitures de l"escadron. On a trouvé 5 hommes tués, une vingtaine sont blessés, 11 manquent à l"appel et une vingtaine de chevaux manquent aussi...
ALGERIE Ref#[238782] INSURRECTION D"ABD EL KADER
Désastre de la MACTA le 26 juillet 1835
Lors du combat de la Macta le 26 juillet 1835 ou Abd el Kader infligea au général Trézel un désastre militaire, le gouverneur général de l"Algérie, le comte Drouet d"Erlon fut remplacé par le maréchal Clauzel qui revenait ainsi une deuxième fois en Algérie comme gouverneur général. Le comte d"Erlon ne fut pas regretté par les cadres de l"armée d"Afrique à cause de son inertie et des compromissions de son entourage concernant une livraison d"armes destinée aux contingents d"Abd el Kader.
Lettre d"Alger du 8 aout 1835 au colonel DUVIVIER à Paris.
d"Alger le 8 aout 1835
Mon colonel.
... Le général Drouet d"Erlon part ce soir et laisse le gouvernement entre les mains du général Rapatel. Il est bien temps que le maréchal arrive, car les affaires se brouillent de plus en plus. Depuis 16 jours, rien n"arrive à Alger. Abdel el Kader à ordonner d"interrompre les chemins de l"Ouest. Le Bey de Milianah, Sidi el Lkaya Embarack, notre ami agha est enchanté de nous faire la guerre et le plus de mal possible. Sans le choléra qui est à Milianah, il y aurait déjà eu plusieurs affaires, on voulait proclamer la guerre sainte... Un escadron de chasseur est stationné à Douéra. Au moment où les chasseurs mettaient pieds à terre pour faire boire, sans arme, pas mëme un brigadier armé, 60 à 80 Hadjoutes sont tombés sur les chasseurs et ont fait une déconfitures de l"escadron. On a trouvé 5 hommes tués, une vingtaine sont blessés, 11 manquent à l"appel et une vingtaine de chevaux manquent aussi...
ALGERIE Ref#[238782] INSURRECTION D"ABD EL KADER
Désastre de la MACTA le 26 juillet 1835
Lors du combat de la Macta le 26 juillet 1835 ou Abd el Kader infligea au général Trézel un désastre militaire, le gouverneur général de l"Algérie, le comte Drouet d"Erlon fut remplacé par le maréchal Clauzel qui revenait ainsi une deuxième fois en Algérie comme gouverneur général. Le comte d"Erlon ne fut pas regretté par les cadres de l"armée d"Afrique à cause de son inertie et des compromissions de son entourage concernant une livraison d"armes destinée aux contingents d"Abd el Kader.
Lettre d"Alger du 8 aout 1835 au colonel DUVIVIER à Paris.
d"Alger le 8 aout 1835
Mon colonel.
... Le général Drouet d"Erlon part ce soir et laisse le gouvernement entre les mains du général Rapatel. Il est bien temps que le maréchal arrive, car les affaires se brouillent de plus en plus. Depuis 16 jours, rien n"arrive à Alger. Abdel el Kader à ordonner d"interrompre les chemins de l"Ouest. Le Bey de Milianah, Sidi el Lkaya Embarack, notre ami agha est enchanté de nous faire la guerre et le plus de mal possible. Sans le choléra qui est à Milianah, il y aurait déjà eu plusieurs affaires, on voulait proclamer la guerre sainte... Un escadron de chasseur est stationné à Douéra. Au moment où les chasseurs mettaient pieds à terre pour faire boire, sans arme, pas mëme un brigadier armé, 60 à 80 Hadjoutes sont tombés sur les chasseurs et ont fait une déconfitures de l"escadron. On a trouvé 5 hommes tués, une vingtaine sont blessés, 11 manquent à l"appel et une vingtaine de chevaux manquent aussi...
ALGERIE Ref#[239467] fragment de lettre de MOSTAGANEM du 8 octobre 1871 avec 20c SIEGE et 4c BORDEAUX annulés GC 5048. Il devait y avoir un 1c sur la lettre complète. timbre TB
ALGERIE Ref#[238286] lettre d"ALGER du 20 janvier 1850 pour VOUZIERS. 2 lettres connues en provenance d"Algérie affranchie avec une bande de 5 du 20c noir Cérès 1849. L"autre est dans la collection Zoummeroff conservée au Musée de la Poste. Lettre du 3ème échelon de poids. 1 ex avec marge entamée sinon TB
20ème siècle Ref#[135337] 3c orange, papier GC, variété double impression. quelques exemplaires connus, celui ci est neuf avec gomme d"origine intacte. certificat
COLONIES GENERALES Ref#[96564] Alphée Dubois, les 13 valeurs 1c à 1F non dentelés sur bristol. Tirage spécial de luxe découpé, effectué pour l"exposition de 1889 (comportait aussi type Sage, Charles III de Monaco et armoiries de Tunisie). rareté. La série est complète, en 1889, le 25c noir sur jaune ayant été remplacé par le 25c noir sur rose.
REUNION Ref#[207786] 2F sur 0.05F blason de LILLE. seul timbre NON EMIS de la période CFA ayant une existance officielle. Il existe une feuille au Musée de la Poste. annulation exagonale. seuls 3 exemplaires ont survécu.
ALGERIE Ref#[238286] lettre d"ALGER du 20 janvier 1850 pour VOUZIERS. 2 lettres connues en provenance d"Algérie affranchie avec une bande de 5 du 20c noir Cérès 1849. L"autre est dans la collection Zoummeroff conservée au Musée de la Poste. Lettre du 3ème échelon de poids. 1 ex avec marge entamée sinon TB
Préoblitérés Ref#[112009] 5c vert (8 septembre) sur devant de bande de KOERTING FRERES. defectueux mais très rare exemple de ce timbre sur document. signé/certificat
TUNISIE Ref#[182687] petit lot de timbres fiscaux de Tunisie. Copie, Dimension et Effets de commerce. cote BDV d"environ 3400€. TB dans l"ensemble. timbres rares
ALGERIE Ref#[238789] MOSTAGANEM quartier de MATAMORE
Lettre du 5 mars 1836 acheminée à ORAN à destination de NARBONNE.
Suite à la prise d"Alger en juillet 1830, la garnison turque de Mostaganem s"était ralliée à nos armes et se trouvait isolée, comme celle de Tlemcen, depuis l"occupation de la régence d"Alger par les troupes françaises. Le général Desmichels dirigea une expédition sur Mostaganem le 23 juillet,1833 et occupa à la ville sans résistance. Les tribus environnantes qui n"avaient pas cessé de harceler les Turcs qui avaient gouverné pour la France depuis juillet 1830, se levèrent en masse pour attaquer la ville. Abd el kader appuya à ce mouvement avec de grands renforts. La garnison française fut assiégée de longs mois.
" Matamore le 15 mars 1836
Je suis à Matamore et petite ville turque dominant une autre ville mauresque nommée
Mostaganem, trou infâme que l"on décrit je ne sais pourquoi du nom de ville. Nous sommes sur le bord de la mer et la cote est tellement inhospitalière, le vent du golf d"Arzew est tellement craint des marins, que jamais nous ne voyons de navire dans notre horizon. Quelques mauvaises barques vont et viennent d"Oran lorsque la mer est calme, en risquant chaque fois de sombrer.
Souvent, nous manquons de vin que l"on remplace par une eau de vie importable. Nous n"avons en fait de femmes que des bédouines fort sales qui ont le toupet de s"envelopper tout entière dans un bournous de sorte que l"on ne laisse voir que la cheville, ce qui pourrait ëtre fort beau et très excitant en France et très réfrigérant en Afrique, en un mot, nous nous voyons en fait d"hommes que nos soldats et quelques bédouins, en fait de femme que nos cantinières.
Nous faisons très souvent des sorties soit pour nous procurer du bois, soit pour surprendre les tribus ennemies. Nous allons coucher à 7 ou 8 lieux de nos masures car Matamore est une ville en ruine et nous revenons le lendemain. Je voudrais bien que tout le régiment fut réunis à Oran, Canrobert qui y est avec le premier bataillon m"écrit que ce mouvement doit s"opérer ... "
ALGERIE Ref#[238789] MOSTAGANEM quartier de MATAMORE
Lettre du 5 mars 1836 acheminée à ORAN à destination de NARBONNE.
Suite à la prise d"Alger en juillet 1830, la garnison turque de Mostaganem s"était ralliée à nos armes et se trouvait isolée, comme celle de Tlemcen, depuis l"occupation de la régence d"Alger par les troupes françaises. Le général Desmichels dirigea une expédition sur Mostaganem le 23 juillet,1833 et occupa à la ville sans résistance. Les tribus environnantes qui n"avaient pas cessé de harceler les Turcs qui avaient gouverné pour la France depuis juillet 1830, se levèrent en masse pour attaquer la ville. Abd el kader appuya à ce mouvement avec de grands renforts. La garnison française fut assiégée de longs mois.
" Matamore le 15 mars 1836
Je suis à Matamore et petite ville turque dominant une autre ville mauresque nommée
Mostaganem, trou infâme que l"on décrit je ne sais pourquoi du nom de ville. Nous sommes sur le bord de la mer et la cote est tellement inhospitalière, le vent du golf d"Arzew est tellement craint des marins, que jamais nous ne voyons de navire dans notre horizon. Quelques mauvaises barques vont et viennent d"Oran lorsque la mer est calme, en risquant chaque fois de sombrer.
Souvent, nous manquons de vin que l"on remplace par une eau de vie importable. Nous n"avons en fait de femmes que des bédouines fort sales qui ont le toupet de s"envelopper tout entière dans un bournous de sorte que l"on ne laisse voir que la cheville, ce qui pourrait ëtre fort beau et très excitant en France et très réfrigérant en Afrique, en un mot, nous nous voyons en fait d"hommes que nos soldats et quelques bédouins, en fait de femme que nos cantinières.
Nous faisons très souvent des sorties soit pour nous procurer du bois, soit pour surprendre les tribus ennemies. Nous allons coucher à 7 ou 8 lieux de nos masures car Matamore est une ville en ruine et nous revenons le lendemain. Je voudrais bien que tout le régiment fut réunis à Oran, Canrobert qui y est avec le premier bataillon m"écrit que ce mouvement doit s"opérer ... "
ALGERIE Ref#[238789] MOSTAGANEM quartier de MATAMORE
Lettre du 5 mars 1836 acheminée à ORAN à destination de NARBONNE.
Suite à la prise d"Alger en juillet 1830, la garnison turque de Mostaganem s"était ralliée à nos armes et se trouvait isolée, comme celle de Tlemcen, depuis l"occupation de la régence d"Alger par les troupes françaises. Le général Desmichels dirigea une expédition sur Mostaganem le 23 juillet,1833 et occupa à la ville sans résistance. Les tribus environnantes qui n"avaient pas cessé de harceler les Turcs qui avaient gouverné pour la France depuis juillet 1830, se levèrent en masse pour attaquer la ville. Abd el kader appuya à ce mouvement avec de grands renforts. La garnison française fut assiégée de longs mois.
" Matamore le 15 mars 1836
Je suis à Matamore et petite ville turque dominant une autre ville mauresque nommée
Mostaganem, trou infâme que l"on décrit je ne sais pourquoi du nom de ville. Nous sommes sur le bord de la mer et la cote est tellement inhospitalière, le vent du golf d"Arzew est tellement craint des marins, que jamais nous ne voyons de navire dans notre horizon. Quelques mauvaises barques vont et viennent d"Oran lorsque la mer est calme, en risquant chaque fois de sombrer.
Souvent, nous manquons de vin que l"on remplace par une eau de vie importable. Nous n"avons en fait de femmes que des bédouines fort sales qui ont le toupet de s"envelopper tout entière dans un bournous de sorte que l"on ne laisse voir que la cheville, ce qui pourrait ëtre fort beau et très excitant en France et très réfrigérant en Afrique, en un mot, nous nous voyons en fait d"hommes que nos soldats et quelques bédouins, en fait de femme que nos cantinières.
Nous faisons très souvent des sorties soit pour nous procurer du bois, soit pour surprendre les tribus ennemies. Nous allons coucher à 7 ou 8 lieux de nos masures car Matamore est une ville en ruine et nous revenons le lendemain. Je voudrais bien que tout le régiment fut réunis à Oran, Canrobert qui y est avec le premier bataillon m"écrit que ce mouvement doit s"opérer ... "
ALGERIE Ref#[238789] MOSTAGANEM quartier de MATAMORE
Lettre du 5 mars 1836 acheminée à ORAN à destination de NARBONNE.
Suite à la prise d"Alger en juillet 1830, la garnison turque de Mostaganem s"était ralliée à nos armes et se trouvait isolée, comme celle de Tlemcen, depuis l"occupation de la régence d"Alger par les troupes françaises. Le général Desmichels dirigea une expédition sur Mostaganem le 23 juillet,1833 et occupa à la ville sans résistance. Les tribus environnantes qui n"avaient pas cessé de harceler les Turcs qui avaient gouverné pour la France depuis juillet 1830, se levèrent en masse pour attaquer la ville. Abd el kader appuya à ce mouvement avec de grands renforts. La garnison française fut assiégée de longs mois.
" Matamore le 15 mars 1836
Je suis à Matamore et petite ville turque dominant une autre ville mauresque nommée
Mostaganem, trou infâme que l"on décrit je ne sais pourquoi du nom de ville. Nous sommes sur le bord de la mer et la cote est tellement inhospitalière, le vent du golf d"Arzew est tellement craint des marins, que jamais nous ne voyons de navire dans notre horizon. Quelques mauvaises barques vont et viennent d"Oran lorsque la mer est calme, en risquant chaque fois de sombrer.
Souvent, nous manquons de vin que l"on remplace par une eau de vie importable. Nous n"avons en fait de femmes que des bédouines fort sales qui ont le toupet de s"envelopper tout entière dans un bournous de sorte que l"on ne laisse voir que la cheville, ce qui pourrait ëtre fort beau et très excitant en France et très réfrigérant en Afrique, en un mot, nous nous voyons en fait d"hommes que nos soldats et quelques bédouins, en fait de femme que nos cantinières.
Nous faisons très souvent des sorties soit pour nous procurer du bois, soit pour surprendre les tribus ennemies. Nous allons coucher à 7 ou 8 lieux de nos masures car Matamore est une ville en ruine et nous revenons le lendemain. Je voudrais bien que tout le régiment fut réunis à Oran, Canrobert qui y est avec le premier bataillon m"écrit que ce mouvement doit s"opérer ... "
ALGERIE Ref#[238789] MOSTAGANEM quartier de MATAMORE
Lettre du 5 mars 1836 acheminée à ORAN à destination de NARBONNE.
Suite à la prise d"Alger en juillet 1830, la garnison turque de Mostaganem s"était ralliée à nos armes et se trouvait isolée, comme celle de Tlemcen, depuis l"occupation de la régence d"Alger par les troupes françaises. Le général Desmichels dirigea une expédition sur Mostaganem le 23 juillet,1833 et occupa à la ville sans résistance. Les tribus environnantes qui n"avaient pas cessé de harceler les Turcs qui avaient gouverné pour la France depuis juillet 1830, se levèrent en masse pour attaquer la ville. Abd el kader appuya à ce mouvement avec de grands renforts. La garnison française fut assiégée de longs mois.
" Matamore le 15 mars 1836
Je suis à Matamore et petite ville turque dominant une autre ville mauresque nommée
Mostaganem, trou infâme que l"on décrit je ne sais pourquoi du nom de ville. Nous sommes sur le bord de la mer et la cote est tellement inhospitalière, le vent du golf d"Arzew est tellement craint des marins, que jamais nous ne voyons de navire dans notre horizon. Quelques mauvaises barques vont et viennent d"Oran lorsque la mer est calme, en risquant chaque fois de sombrer.
Souvent, nous manquons de vin que l"on remplace par une eau de vie importable. Nous n"avons en fait de femmes que des bédouines fort sales qui ont le toupet de s"envelopper tout entière dans un bournous de sorte que l"on ne laisse voir que la cheville, ce qui pourrait ëtre fort beau et très excitant en France et très réfrigérant en Afrique, en un mot, nous nous voyons en fait d"hommes que nos soldats et quelques bédouins, en fait de femme que nos cantinières.
Nous faisons très souvent des sorties soit pour nous procurer du bois, soit pour surprendre les tribus ennemies. Nous allons coucher à 7 ou 8 lieux de nos masures car Matamore est une ville en ruine et nous revenons le lendemain. Je voudrais bien que tout le régiment fut réunis à Oran, Canrobert qui y est avec le premier bataillon m"écrit que ce mouvement doit s"opérer ... "
ALGERIE Ref#[238789] MOSTAGANEM quartier de MATAMORE
Lettre du 5 mars 1836 acheminée à ORAN à destination de NARBONNE.
Suite à la prise d"Alger en juillet 1830, la garnison turque de Mostaganem s"était ralliée à nos armes et se trouvait isolée, comme celle de Tlemcen, depuis l"occupation de la régence d"Alger par les troupes françaises. Le général Desmichels dirigea une expédition sur Mostaganem le 23 juillet,1833 et occupa à la ville sans résistance. Les tribus environnantes qui n"avaient pas cessé de harceler les Turcs qui avaient gouverné pour la France depuis juillet 1830, se levèrent en masse pour attaquer la ville. Abd el kader appuya à ce mouvement avec de grands renforts. La garnison française fut assiégée de longs mois.
" Matamore le 15 mars 1836
Je suis à Matamore et petite ville turque dominant une autre ville mauresque nommée
Mostaganem, trou infâme que l"on décrit je ne sais pourquoi du nom de ville. Nous sommes sur le bord de la mer et la cote est tellement inhospitalière, le vent du golf d"Arzew est tellement craint des marins, que jamais nous ne voyons de navire dans notre horizon. Quelques mauvaises barques vont et viennent d"Oran lorsque la mer est calme, en risquant chaque fois de sombrer.
Souvent, nous manquons de vin que l"on remplace par une eau de vie importable. Nous n"avons en fait de femmes que des bédouines fort sales qui ont le toupet de s"envelopper tout entière dans un bournous de sorte que l"on ne laisse voir que la cheville, ce qui pourrait ëtre fort beau et très excitant en France et très réfrigérant en Afrique, en un mot, nous nous voyons en fait d"hommes que nos soldats et quelques bédouins, en fait de femme que nos cantinières.
Nous faisons très souvent des sorties soit pour nous procurer du bois, soit pour surprendre les tribus ennemies. Nous allons coucher à 7 ou 8 lieux de nos masures car Matamore est une ville en ruine et nous revenons le lendemain. Je voudrais bien que tout le régiment fut réunis à Oran, Canrobert qui y est avec le premier bataillon m"écrit que ce mouvement doit s"opérer ... "
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Lettre du 5 mars 1836 acheminée à ORAN à destination de NARBONNE.
Suite à la prise d"Alger en juillet 1830, la garnison turque de Mostaganem s"était ralliée à nos armes et se trouvait isolée, comme celle de Tlemcen, depuis l"occupation de la régence d"Alger par les troupes françaises. Le général Desmichels dirigea une expédition sur Mostaganem le 23 juillet,1833 et occupa à la ville sans résistance. Les tribus environnantes qui n"avaient pas cessé de harceler les Turcs qui avaient gouverné pour la France depuis juillet 1830, se levèrent en masse pour attaquer la ville. Abd el kader appuya à ce mouvement avec de grands renforts. La garnison française fut assiégée de longs mois.
" Matamore le 15 mars 1836
Je suis à Matamore et petite ville turque dominant une autre ville mauresque nommée
Mostaganem, trou infâme que l"on décrit je ne sais pourquoi du nom de ville. Nous sommes sur le bord de la mer et la cote est tellement inhospitalière, le vent du golf d"Arzew est tellement craint des marins, que jamais nous ne voyons de navire dans notre horizon. Quelques mauvaises barques vont et viennent d"Oran lorsque la mer est calme, en risquant chaque fois de sombrer.
Souvent, nous manquons de vin que l"on remplace par une eau de vie importable. Nous n"avons en fait de femmes que des bédouines fort sales qui ont le toupet de s"envelopper tout entière dans un bournous de sorte que l"on ne laisse voir que la cheville, ce qui pourrait ëtre fort beau et très excitant en France et très réfrigérant en Afrique, en un mot, nous nous voyons en fait d"hommes que nos soldats et quelques bédouins, en fait de femme que nos cantinières.
Nous faisons très souvent des sorties soit pour nous procurer du bois, soit pour surprendre les tribus ennemies. Nous allons coucher à 7 ou 8 lieux de nos masures car Matamore est une ville en ruine et nous revenons le lendemain. Je voudrais bien que tout le régiment fut réunis à Oran, Canrobert qui y est avec le premier bataillon m"écrit que ce mouvement doit s"opérer ... "
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Lettre du 5 mars 1836 acheminée à ORAN à destination de NARBONNE.
Suite à la prise d"Alger en juillet 1830, la garnison turque de Mostaganem s"était ralliée à nos armes et se trouvait isolée, comme celle de Tlemcen, depuis l"occupation de la régence d"Alger par les troupes françaises. Le général Desmichels dirigea une expédition sur Mostaganem le 23 juillet,1833 et occupa à la ville sans résistance. Les tribus environnantes qui n"avaient pas cessé de harceler les Turcs qui avaient gouverné pour la France depuis juillet 1830, se levèrent en masse pour attaquer la ville. Abd el kader appuya à ce mouvement avec de grands renforts. La garnison française fut assiégée de longs mois.
" Matamore le 15 mars 1836
Je suis à Matamore et petite ville turque dominant une autre ville mauresque nommée
Mostaganem, trou infâme que l"on décrit je ne sais pourquoi du nom de ville. Nous sommes sur le bord de la mer et la cote est tellement inhospitalière, le vent du golf d"Arzew est tellement craint des marins, que jamais nous ne voyons de navire dans notre horizon. Quelques mauvaises barques vont et viennent d"Oran lorsque la mer est calme, en risquant chaque fois de sombrer.
Souvent, nous manquons de vin que l"on remplace par une eau de vie importable. Nous n"avons en fait de femmes que des bédouines fort sales qui ont le toupet de s"envelopper tout entière dans un bournous de sorte que l"on ne laisse voir que la cheville, ce qui pourrait ëtre fort beau et très excitant en France et très réfrigérant en Afrique, en un mot, nous nous voyons en fait d"hommes que nos soldats et quelques bédouins, en fait de femme que nos cantinières.
Nous faisons très souvent des sorties soit pour nous procurer du bois, soit pour surprendre les tribus ennemies. Nous allons coucher à 7 ou 8 lieux de nos masures car Matamore est une ville en ruine et nous revenons le lendemain. Je voudrais bien que tout le régiment fut réunis à Oran, Canrobert qui y est avec le premier bataillon m"écrit que ce mouvement doit s"opérer ... "
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Suite à la prise d"Alger en juillet 1830, la garnison turque de Mostaganem s"était ralliée à nos armes et se trouvait isolée, comme celle de Tlemcen, depuis l"occupation de la régence d"Alger par les troupes françaises. Le général Desmichels dirigea une expédition sur Mostaganem le 23 juillet,1833 et occupa à la ville sans résistance. Les tribus environnantes qui n"avaient pas cessé de harceler les Turcs qui avaient gouverné pour la France depuis juillet 1830, se levèrent en masse pour attaquer la ville. Abd el kader appuya à ce mouvement avec de grands renforts. La garnison française fut assiégée de longs mois.
" Matamore le 15 mars 1836
Je suis à Matamore et petite ville turque dominant une autre ville mauresque nommée
Mostaganem, trou infâme que l"on décrit je ne sais pourquoi du nom de ville. Nous sommes sur le bord de la mer et la cote est tellement inhospitalière, le vent du golf d"Arzew est tellement craint des marins, que jamais nous ne voyons de navire dans notre horizon. Quelques mauvaises barques vont et viennent d"Oran lorsque la mer est calme, en risquant chaque fois de sombrer.
Souvent, nous manquons de vin que l"on remplace par une eau de vie importable. Nous n"avons en fait de femmes que des bédouines fort sales qui ont le toupet de s"envelopper tout entière dans un bournous de sorte que l"on ne laisse voir que la cheville, ce qui pourrait ëtre fort beau et très excitant en France et très réfrigérant en Afrique, en un mot, nous nous voyons en fait d"hommes que nos soldats et quelques bédouins, en fait de femme que nos cantinières.
Nous faisons très souvent des sorties soit pour nous procurer du bois, soit pour surprendre les tribus ennemies. Nous allons coucher à 7 ou 8 lieux de nos masures car Matamore est une ville en ruine et nous revenons le lendemain. Je voudrais bien que tout le régiment fut réunis à Oran, Canrobert qui y est avec le premier bataillon m"écrit que ce mouvement doit s"opérer ... "
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Suite à la prise d"Alger en juillet 1830, la garnison turque de Mostaganem s"était ralliée à nos armes et se trouvait isolée, comme celle de Tlemcen, depuis l"occupation de la régence d"Alger par les troupes françaises. Le général Desmichels dirigea une expédition sur Mostaganem le 23 juillet,1833 et occupa à la ville sans résistance. Les tribus environnantes qui n"avaient pas cessé de harceler les Turcs qui avaient gouverné pour la France depuis juillet 1830, se levèrent en masse pour attaquer la ville. Abd el kader appuya à ce mouvement avec de grands renforts. La garnison française fut assiégée de longs mois.
" Matamore le 15 mars 1836
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Mostaganem, trou infâme que l"on décrit je ne sais pourquoi du nom de ville. Nous sommes sur le bord de la mer et la cote est tellement inhospitalière, le vent du golf d"Arzew est tellement craint des marins, que jamais nous ne voyons de navire dans notre horizon. Quelques mauvaises barques vont et viennent d"Oran lorsque la mer est calme, en risquant chaque fois de sombrer.
Souvent, nous manquons de vin que l"on remplace par une eau de vie importable. Nous n"avons en fait de femmes que des bédouines fort sales qui ont le toupet de s"envelopper tout entière dans un bournous de sorte que l"on ne laisse voir que la cheville, ce qui pourrait ëtre fort beau et très excitant en France et très réfrigérant en Afrique, en un mot, nous nous voyons en fait d"hommes que nos soldats et quelques bédouins, en fait de femme que nos cantinières.
Nous faisons très souvent des sorties soit pour nous procurer du bois, soit pour surprendre les tribus ennemies. Nous allons coucher à 7 ou 8 lieux de nos masures car Matamore est une ville en ruine et nous revenons le lendemain. Je voudrais bien que tout le régiment fut réunis à Oran, Canrobert qui y est avec le premier bataillon m"écrit que ce mouvement doit s"opérer ... "
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Suite à la prise d"Alger en juillet 1830, la garnison turque de Mostaganem s"était ralliée à nos armes et se trouvait isolée, comme celle de Tlemcen, depuis l"occupation de la régence d"Alger par les troupes françaises. Le général Desmichels dirigea une expédition sur Mostaganem le 23 juillet,1833 et occupa à la ville sans résistance. Les tribus environnantes qui n"avaient pas cessé de harceler les Turcs qui avaient gouverné pour la France depuis juillet 1830, se levèrent en masse pour attaquer la ville. Abd el kader appuya à ce mouvement avec de grands renforts. La garnison française fut assiégée de longs mois.
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Mostaganem, trou infâme que l"on décrit je ne sais pourquoi du nom de ville. Nous sommes sur le bord de la mer et la cote est tellement inhospitalière, le vent du golf d"Arzew est tellement craint des marins, que jamais nous ne voyons de navire dans notre horizon. Quelques mauvaises barques vont et viennent d"Oran lorsque la mer est calme, en risquant chaque fois de sombrer.
Souvent, nous manquons de vin que l"on remplace par une eau de vie importable. Nous n"avons en fait de femmes que des bédouines fort sales qui ont le toupet de s"envelopper tout entière dans un bournous de sorte que l"on ne laisse voir que la cheville, ce qui pourrait ëtre fort beau et très excitant en France et très réfrigérant en Afrique, en un mot, nous nous voyons en fait d"hommes que nos soldats et quelques bédouins, en fait de femme que nos cantinières.
Nous faisons très souvent des sorties soit pour nous procurer du bois, soit pour surprendre les tribus ennemies. Nous allons coucher à 7 ou 8 lieux de nos masures car Matamore est une ville en ruine et nous revenons le lendemain. Je voudrais bien que tout le régiment fut réunis à Oran, Canrobert qui y est avec le premier bataillon m"écrit que ce mouvement doit s"opérer ... "
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Suite à la prise d"Alger en juillet 1830, la garnison turque de Mostaganem s"était ralliée à nos armes et se trouvait isolée, comme celle de Tlemcen, depuis l"occupation de la régence d"Alger par les troupes françaises. Le général Desmichels dirigea une expédition sur Mostaganem le 23 juillet,1833 et occupa à la ville sans résistance. Les tribus environnantes qui n"avaient pas cessé de harceler les Turcs qui avaient gouverné pour la France depuis juillet 1830, se levèrent en masse pour attaquer la ville. Abd el kader appuya à ce mouvement avec de grands renforts. La garnison française fut assiégée de longs mois.
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Je suis à Matamore et petite ville turque dominant une autre ville mauresque nommée
Mostaganem, trou infâme que l"on décrit je ne sais pourquoi du nom de ville. Nous sommes sur le bord de la mer et la cote est tellement inhospitalière, le vent du golf d"Arzew est tellement craint des marins, que jamais nous ne voyons de navire dans notre horizon. Quelques mauvaises barques vont et viennent d"Oran lorsque la mer est calme, en risquant chaque fois de sombrer.
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Nous faisons très souvent des sorties soit pour nous procurer du bois, soit pour surprendre les tribus ennemies. Nous allons coucher à 7 ou 8 lieux de nos masures car Matamore est une ville en ruine et nous revenons le lendemain. Je voudrais bien que tout le régiment fut réunis à Oran, Canrobert qui y est avec le premier bataillon m"écrit que ce mouvement doit s"opérer ... "
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Suite à la prise d"Alger en juillet 1830, la garnison turque de Mostaganem s"était ralliée à nos armes et se trouvait isolée, comme celle de Tlemcen, depuis l"occupation de la régence d"Alger par les troupes françaises. Le général Desmichels dirigea une expédition sur Mostaganem le 23 juillet,1833 et occupa à la ville sans résistance. Les tribus environnantes qui n"avaient pas cessé de harceler les Turcs qui avaient gouverné pour la France depuis juillet 1830, se levèrent en masse pour attaquer la ville. Abd el kader appuya à ce mouvement avec de grands renforts. La garnison française fut assiégée de longs mois.
" Matamore le 15 mars 1836
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Mostaganem, trou infâme que l"on décrit je ne sais pourquoi du nom de ville. Nous sommes sur le bord de la mer et la cote est tellement inhospitalière, le vent du golf d"Arzew est tellement craint des marins, que jamais nous ne voyons de navire dans notre horizon. Quelques mauvaises barques vont et viennent d"Oran lorsque la mer est calme, en risquant chaque fois de sombrer.
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Suite à la prise d"Alger en juillet 1830, la garnison turque de Mostaganem s"était ralliée à nos armes et se trouvait isolée, comme celle de Tlemcen, depuis l"occupation de la régence d"Alger par les troupes françaises. Le général Desmichels dirigea une expédition sur Mostaganem le 23 juillet,1833 et occupa à la ville sans résistance. Les tribus environnantes qui n"avaient pas cessé de harceler les Turcs qui avaient gouverné pour la France depuis juillet 1830, se levèrent en masse pour attaquer la ville. Abd el kader appuya à ce mouvement avec de grands renforts. La garnison française fut assiégée de longs mois.
" Matamore le 15 mars 1836
Je suis à Matamore et petite ville turque dominant une autre ville mauresque nommée
Mostaganem, trou infâme que l"on décrit je ne sais pourquoi du nom de ville. Nous sommes sur le bord de la mer et la cote est tellement inhospitalière, le vent du golf d"Arzew est tellement craint des marins, que jamais nous ne voyons de navire dans notre horizon. Quelques mauvaises barques vont et viennent d"Oran lorsque la mer est calme, en risquant chaque fois de sombrer.
Souvent, nous manquons de vin que l"on remplace par une eau de vie importable. Nous n"avons en fait de femmes que des bédouines fort sales qui ont le toupet de s"envelopper tout entière dans un bournous de sorte que l"on ne laisse voir que la cheville, ce qui pourrait ëtre fort beau et très excitant en France et très réfrigérant en Afrique, en un mot, nous nous voyons en fait d"hommes que nos soldats et quelques bédouins, en fait de femme que nos cantinières.
Nous faisons très souvent des sorties soit pour nous procurer du bois, soit pour surprendre les tribus ennemies. Nous allons coucher à 7 ou 8 lieux de nos masures car Matamore est une ville en ruine et nous revenons le lendemain. Je voudrais bien que tout le régiment fut réunis à Oran, Canrobert qui y est avec le premier bataillon m"écrit que ce mouvement doit s"opérer ... "
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Lettre du 5 mars 1836 acheminée à ORAN à destination de NARBONNE.
Suite à la prise d"Alger en juillet 1830, la garnison turque de Mostaganem s"était ralliée à nos armes et se trouvait isolée, comme celle de Tlemcen, depuis l"occupation de la régence d"Alger par les troupes françaises. Le général Desmichels dirigea une expédition sur Mostaganem le 23 juillet,1833 et occupa à la ville sans résistance. Les tribus environnantes qui n"avaient pas cessé de harceler les Turcs qui avaient gouverné pour la France depuis juillet 1830, se levèrent en masse pour attaquer la ville. Abd el kader appuya à ce mouvement avec de grands renforts. La garnison française fut assiégée de longs mois.
" Matamore le 15 mars 1836
Je suis à Matamore et petite ville turque dominant une autre ville mauresque nommée
Mostaganem, trou infâme que l"on décrit je ne sais pourquoi du nom de ville. Nous sommes sur le bord de la mer et la cote est tellement inhospitalière, le vent du golf d"Arzew est tellement craint des marins, que jamais nous ne voyons de navire dans notre horizon. Quelques mauvaises barques vont et viennent d"Oran lorsque la mer est calme, en risquant chaque fois de sombrer.
Souvent, nous manquons de vin que l"on remplace par une eau de vie importable. Nous n"avons en fait de femmes que des bédouines fort sales qui ont le toupet de s"envelopper tout entière dans un bournous de sorte que l"on ne laisse voir que la cheville, ce qui pourrait ëtre fort beau et très excitant en France et très réfrigérant en Afrique, en un mot, nous nous voyons en fait d"hommes que nos soldats et quelques bédouins, en fait de femme que nos cantinières.
Nous faisons très souvent des sorties soit pour nous procurer du bois, soit pour surprendre les tribus ennemies. Nous allons coucher à 7 ou 8 lieux de nos masures car Matamore est une ville en ruine et nous revenons le lendemain. Je voudrais bien que tout le régiment fut réunis à Oran, Canrobert qui y est avec le premier bataillon m"écrit que ce mouvement doit s"opérer ... "
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Lettre du 5 mars 1836 acheminée à ORAN à destination de NARBONNE.
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" Matamore le 15 mars 1836
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Mostaganem, trou infâme que l"on décrit je ne sais pourquoi du nom de ville. Nous sommes sur le bord de la mer et la cote est tellement inhospitalière, le vent du golf d"Arzew est tellement craint des marins, que jamais nous ne voyons de navire dans notre horizon. Quelques mauvaises barques vont et viennent d"Oran lorsque la mer est calme, en risquant chaque fois de sombrer.
Souvent, nous manquons de vin que l"on remplace par une eau de vie importable. Nous n"avons en fait de femmes que des bédouines fort sales qui ont le toupet de s"envelopper tout entière dans un bournous de sorte que l"on ne laisse voir que la cheville, ce qui pourrait ëtre fort beau et très excitant en France et très réfrigérant en Afrique, en un mot, nous nous voyons en fait d"hommes que nos soldats et quelques bédouins, en fait de femme que nos cantinières.
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